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Recherche par auteur : Sa Moreira, Régis de

2 résultats.

Lu par : Claudine Hubert
Durée : 2h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68402
Résumé:Comment faire drôle avec une tragédie ? Comment rire de la vie (et de la mort) quand elle déboule avec son florilège d'emmerdes, de drames ? Régis de Sà Moreira a peut-être trouvé la solution dans le décalage des situations et des dialogues. Qu'on en juge : Joseph a pris l'habitude de dormir dans un hamac. C'est tout de même "casse-gueule"… Qu'importe. Il a installé un matelas en dessous, au cas où ! Joseph s'est pendu. Clara, sa femme se pose une question éminemment essentielle : qu'est-ce qu'un vendeur vous demande quand on lui achète une corde ?! Et quand Joseph croise Dieu, celui-ci lui apprend qu'il n'existe pas de mort, "zéro tués" en somme, et que seuls les suicidés ont trouvé l'astuce ! Le pire c'est que Dieu ne se fout pas de lui ! Voilà donc la tonalité du deuxième roman de Régis de Sa Moreira, déjà remarqué pour Pas de temps à perdre. Tableau d'une vie de couple avant, pendant et après la tragédie d'une pendaison, Zéro tués réussit le pari d'y imposer la comédie avec force non-sens, un goût doux-amer pour l'absurde.
Durée : 2h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17457
Résumé:L'auteur a une idée originale qui donne lieu à des situations absurdes et de somptueux quiproquos. Il imagine qu'un matin, un homme se retrouve, sans comprendre comment, dans le corps de son épouse... Et stupeur : sa femme est devenue lui. Pire encore : ce couple qui a décidé la veille de se séparer, doit à présent échanger les rôles et vivre au plus près l'un de l'autre. Elle est agent littéraire : elle ne peut donc s'absenter de son travail en attendant que la situation se résolve. C'est son mari qui doit se rendre à sa place à l'agence, rencontrer les auteurs, aider à la correction des manuscrits... Quant à elle, elle demeure à la maison, son mari étant un écrivain raté qui a décidé de consacrer ses journées à ne pas écrire...